vendredi, août 31

La bête



Ce blouson et moi nous ne fesons qu'un (effectivement avec moi, 1+1=1) . Je ne vous dis pas la tristesse qui m'a submergé en le laissant seul, tout seul dans ce pauv' magasin.

Ahhhhh si seulement j'étais une voleuse accro de mode dans l'âme, une voleuse qui fais son shopping sans chauffer la CB, une voleuse qui ne soucie de rien. Si j'étais une voleuse vétue de c ollant et escarpin noir, j'aurais cette douce bête sur moi.

Mais les retrouvailles se feront un jour. Je lui réserve une place toute particulière dans mon dressing. Je l'aurais! (en tant que bonne accro aux pubs, je pense illico au gars qui dit "ah je l'aurais!" et on enchaine avec "c"est la MAAF que je préfère c'est la MAAF")

mardi, août 28

Shop' virtuel avec ma CB platinement imaginaire

Retour des vacances = foutue de chez foutue.
Je ne sui pas encore allez faire du lèche vitrine, mes menbres sont fatigués et mes articulations rouillés.
Heureusement que le net est là , grâce a cela, je fait du repérage sans lever mon derrière.
Bon allez, je vous montre les articles qui m'ont le plus intrigués.


Le pantalon Camaieu, j'aime énormément les bretelle, et amovible en plus!Mais i j'en trouve pas à ma taille.


Une veste HM, simple, lot de consolation puisque ma 'futur' veste en cuir ( je ferais un article pour montrer la bête) n'est pas dans ma garde robe et le sera pas avant un bout de temps.


Les ballerines MNG, noires, ressemblant a des babies mais plus sophistiquées. Il reste plus qu'a essayer. Si c'est moche je me resignerais sur...

[pas de photos pour le moment]

Des bottines plates André noir. Mais si en les essaies sont décevant, j'irais certainement voir chez...

Bata, ces bottines, qui ma foi, sont fortement attrayante.

Ce haut est mignon. New look, vous avez mes salutations les plus distinguées.

L'air pur des champs II.

J'ai ENCORE cédée.


Il en restait deux sur le portant, un en 40 un en 34. J'arrache l’article le plus petit. Et je me l’offre. Inconsciente. Incurable. Incorrigible. Je le suis et je le demeurerais. Pauvre de moi.